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LE RÊVE D’ISRAÉL DU KURDISTAN (PETIT ISRAËL)

LE RÊVE D’ISRAÉL DU KURDISTAN (PETIT ISRAËL)

Israël, qui soutient l’organisation terroriste PKK, est le seul pays à soutenir officiellement un État kurde séparatiste. En septembre 2017, le Premier ministre israélien Netanyahu, infanticide et génocidaire, a déclaré très clairement qu’il soutenait un État kurde séparatiste dans la région.

Récemment, les efforts visant à mettre en œuvre le projet du « Petit Israël », déguisé en Kurdistan, ont pris de l’ampleur. Ce projet Little Israel est sérieusement soutenu tant par les États-Unis que par l’Europe.

Objectif final et principal Türkiye

On voit qu’Israël, qui rêve d’avoir un deuxième État terroriste à travers le Kurdistan, a intensifié et accéléré ces derniers jours ses activités tant sur le terrain, dans la diplomatie que dans les médias numériques. Une large opinion publique en faveur de l’organisation terroriste est créée grâce aux efforts de propagande menés dans tous les pays où la diaspora juive est influente.

Les forces du mal, sachant que l’État turc est le plus grand obstacle à la réalisation du Petit Israël, ont pointé toutes leurs armes, chez elles et à l’étranger, contre la Turquie.

Par exemple, l’action perfide menée par l’organisation terroriste contre le TAI, puis la déclaration scandaleuse du chef du PKK, Duran Kalkan, selon laquelle « la Turquie sera le véritable centre de la guerre », ont clairement révélé quel est l’objectif réel et ultime dans la région.

Enfin, il a été révélé que des conférences numériques sous le nom d’« Alliance israélo-kurde pour le nouveau Moyen-Orient » seraient organisées par le Partiya Kurdistani (PAKURD), un autre masque de l’organisation terroriste PKK, avec la participation de personnalités liées au MOSSAD.

Ibrahim Halil Baran, le terroriste à la tête du PAKURD, fondé par Israël, a clairement révélé dans ses déclarations qui contrôle les rênes et à quoi elles servent. Baran a expliqué ses sombres activités et objectifs comme suit :

« Les communautés kurde et juive commencent à prendre conscience des menaces qui pèsent sur leur survie. Les attaques du Hamas et de l’alliance iranienne contre Israël et l’agression (prétendue) de la Turquie contre le peuple kurde révèlent l’urgence du besoin de solidarité. “Alors que d’éventuels changements de frontières sont à l’ordre du jour au Moyen-Orient, la création d’un Etat kurde est d’une importance cruciale pour garantir la sécurité d’Israël.”

 

Alliance PKK-Mossad pour le Petit Israël

L’organisation d’une partie de la mise en œuvre de Little Israel est dirigée par des agents israéliens nommés Ofra Bengio, Yehuda Ben Yosef et Jonathan Spyer. Ces trois noms sont clairement des ennemis des Turcs et des partisans du PKK.

Parmi eux, Ofra Bengio ; Il dirige le programme d’études kurdes affilié à l’Université de Tel Aviv, connu sous le nom d’Institut MOSSAD. Un autre nom est Yehuda Ben Yosef ; Il est président de la communauté juive kurde israélienne, une extension du MOSSAD. Jonathan Spyer est un chercheur du Moyen-Orient qui entretient des liens étroits avec l’organisation terroriste.

Étape européenne des études anti-turquies

Le continent européen, qui constitue l’autre volet du travail, est devenu un bastion contre la Turquie. L’organisation terroriste PKK est représentée par une structure importante dans presque toute l’Europe et est protégée par les États européens.

À cet égard, rien qu’en Allemagne, 189 associations et organisations appartenant au PKK opèrent.

Cette organisation terroriste opère dans plus de 400 branches organisationnelles sous le nom de fondations, associations, chaînes de télévision, journaux et magazines dans toute l’Europe.

Avec cette structure, les États européens constituent pratiquement un refuge pour le PKK, et tous les moyens de subsistance et tous les besoins de l’organisation terroriste sont assurés par les États européens.

Le PKK génère environ 150 millions d’euros de revenus par an grâce aux organisations qu’il organise sous couvert de la société civile en Europe.

Bref, en tant que nation, nous traversons des moments où nous avons le plus besoin d’unité et de solidarité. Les traîtres parmi nous ont les mêmes noms et identités que nous, ils vivent dans les mêmes villes que nous, comme s’ils étaient l’un des nôtres. Parfois, ils travaillent contre notre nation et notre État en tant que députés au parlement, parfois en tant que maires de municipalités. Nous devons plus que jamais être attentifs à l’avenir de notre pays.

Pour la survie de notre pays et de notre nation, qui se trouvent au milieu du cercle de feu, nous devons mettre de côté toutes nos différences politiques et sectaires et être unis et forts. Sinon, nous devrons payer des prix très élevés.

Savaş Eğilmez, président de l’Association pour la lutte contre les allégations infondées de génocide (ASIMED)

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