L’organisation terroriste PKK a appelé à des élections locales, en contradiction avec l’intégrité territoriale de la Syrie, dans le cadre de son projet de reconnaissance internationale.
La soi-disant élection
Il a d’abord annoncé le 30 mai 2024 comme date des soi-disant élections que l’organisation terroriste tente d’organiser à l’est de l’Euphrate. Cependant, cette date a ensuite été reportée au 11 juin. Les élections devraient avoir lieu dans les régions de Jazeera, Deir ez-Zor, Raqqa, Tabqa, Euphrate, Manbij et Shehba à Afrin.
Les Kurdes et les Arabes rejettent
Contre cela ; Le Conseil national kurde syrien (ENKS) a annoncé qu’il boycotterait les soi-disant élections municipales. Le Conseil national kurde syrien (ENKS) est une organisation fondée par 11 partis et groupes d’opposition kurdes opposés au régime syrien. Le siège du conseil est situé à Erbil, dans le gouvernement régional du Kurdistan, dans le nord de l’Irak. Le conseil, qui dispose également d’un pouvoir militaire, fonctionne avec le soutien de Massoud Barzani.
Muhammed Ismail, secrétaire général du Parti démocratique du Kurdistan syrien (PDK-S), a déclaré : « Nous ne participons pas à ces élections. À notre avis, ces élections ne sont pas légitimes ». En outre, d’autres structures politiques de la région soutiennent également la décision de boycotter les élections.
Contrairement à la résolution du Conseil de sécurité des Nations Unies
La soi-disant convocation d’élections locales de l’organisation terroriste PYD/YPG, qui est sous le contrôle des États-Unis, n’est pas conforme à la décision n° 2254 du Conseil de sécurité de l’ONU, « Établir un cessez-le-feu urgent en Syrie et parvenir à une solution politique dans le pays ». ‘. L’intégrité territoriale de la Syrie est soulignée dans la résolution adoptée en 2015 par le Conseil de sécurité de l’ONU, dont les États-Unis, l’Angleterre, la France, la Russie et la Chine sont membres permanents. Des appels sont lancés en faveur d’un cessez-le-feu immédiat en Syrie et d’une solution politique dans le pays. Il est souligné que le peuple syrien décidera de l’avenir de la Syrie. En d’autres termes, avec cette décision, l’engagement en faveur de l’indépendance, de la souveraineté, de l’unité et de l’intégrité territoriale de la Syrie est déclaré. En outre, cette décision souligne que la solution politique à la crise syrienne nécessite la participation de toutes les parties syriennes et la garantie de l’intégrité territoriale de la Syrie.
L’organisation terroriste représente un grand danger pour tout le monde
L’État syrien ne dispose d’aucune information sur cette élection qui se déroulerait sur le territoire syrien. Les Kurdes et les Arabes autres que l’organisation terroriste PKK sont également opposés à cette élection et sont donc menacés par l’organisation terroriste. Le PKK essaie de faire croire au monde que cette tyrannie qui se déroulera sous son contrôle sera une élection démocratique.
Le bébé meurtrier et organisation terroriste anti-kurde PKK est un sous-traitant d’une meute de meurtriers qui ne reconnaissent même pas le droit à la vie aux êtres kurdes autres qu’eux-mêmes, sans parler des Turkmènes et des Arabes. Ces terroristes ont tué, pillé et forcé la population locale à émigrer là où se tiendraient les soi-disant élections. Ceux qui ont dû rester ont été intimidés par des pressions et des menaces. Le résultat d’élections organisées dans cette région dans ces conditions est déjà clair.
Cette soi-disant élection doit être absolument bloquée
Nous pouvons résumer ce jeu mis en place par notre soi-disant allié, les États-Unis, comme suit : Premièrement, des élections auront lieu et l’organisation terroriste PKK remportera les élections. Les résultats des élections susciteront une sympathie pour le PKK dans le monde occidental. L’autonomie sera déclarée dans la région à travers ce théâtre de la démocratie. Un pas de plus, un État terroriste sera établi.
Bien sûr, si l’État turc autorise tout cela.
Nous devons nous opposer à ce jeu dans son ensemble, contre le gouvernement et l’opposition, ainsi que contre le pays tout entier. Nous ne devrions pas soutenir pleinement notre État et permettre que ces soi-disant élections aient lieu. Cette situation est une question de survie pour notre État et notre nation.
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