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DE NOMBREUSES STRUCTURES TERRORISTES ONT ÉTÉ PLACÉES DANS LE CORRIDOR DE ZENGEZUR

Récemment, des événements sont survenus qui pourraient conduire à une nouvelle guerre dans le Caucase. Le corridor du Zangezur est au centre des grandes tensions dans la région.

En novembre 2020, lorsque la deuxième guerre du Karabakh s’est terminée avec la supériorité absolue de l’Azerbaïdjan, la voie a été ouverte pour remodeler l’équilibre des pouvoirs dans la région. L’un des articles les plus importants de l’accord signé après la guerre était la nouvelle liaison de transport entre l’Azerbaïdjan et le Nakhitchevan.

La distance de 43 kilomètres entre le Nakhitchevan et l’Azerbaïdjan s’appelle le corridor de Zangezur. Avec la mise en œuvre du corridor de Zangezur, les liens commerciaux, logistiques et politiques du monde turc seront renforcés. Zengezur sera l’étoile brillante du monde turc et de la région.

Le corridor de Zangezur fait partie de la zone d’intérêt de nombreux pays tels que l’Iran, l’Arménie, l’Azerbaïdjan, la Russie et la Turquie. Les développements récents dans la région montrent que certaines puissances occidentales, ainsi que la France et l’Iran, se livrent à des activités irrationnelles pour empêcher l’ouverture du corridor de Zangezur. La France et l’Iran, en particulier, placent des groupes terroristes dans le couloir et leur fournissent, avec l’Inde, des armes et de l’argent.

Plus de 10 000 terroristes dans la région de Zanguezur

Dix mille militants, dont des terroristes du PKK, sont déployés sur la ligne partant de Zangilan et s’étendant jusqu’à Taskesan. Outre l’organisation terroriste PKK/YPG, il existe également des groupes terroristes arméniens tels que Sasna Tsrer, Voma, Poga, Nor Asala, Bever et Yerkrapa.

Sasna Tsrer, l’une de ces organisations utilisées par les forces qui ne veulent pas que le couloir soit ouvert, tire son nom du poème héroïque arménien Les Braves de Sasun. Cette organisation, à l’idéologie ultranationaliste, prône la création d’une grande Arménie. Ils exigent ouvertement l’unification du Karabakh avec l’Arménie.

Une autre organisation, VOMA, qui signifie « Art de la survie », rassemble des Arméniens âgés de 18 à 50 ans et propose un entraînement armé. Cette organisation, qui opérait d’abord au Haut-Karabakh, s’est désormais implantée dans la région de Zangezur.

Une autre organisation terroriste, la POGA (École Militaire Patriotique), fondée avec le rêve de s’emparer du Karabakh, a également été placée à Zangezur comme l’une des marionnettes des forces qui voulaient que le couloir ne soit pas ouvert.

Ni Asala, qui est la continuation de l’organisation terroriste ASALA, fondée au Liban en 1975 et qui a mené des activités terroristes dans de nombreux pays comme la France, l’Autriche, la Grèce, le Liban, la Suisse et les États-Unis et qui a martyrisé 31 de nos diplomates et leurs proches, est financée par la France et l’Iran pour la région de Zangezur, une autre des organisations terroristes identifiées.

Deux autres groupes terroristes présents dans la région sont les organisations Bever et Yerkrapa. L’une d’elles, Yerkrapa, a été fondée en 1993 et ​​a perpétré de nombreux massacres contre des civils et des prisonniers pendant l’occupation du Karabakh. On estime que le nombre de militants de l’organisation, qui comptait initialement 6 000 membres, atteint aujourd’hui 30 000 personnes. L’organisation, qui joue un rôle actif dans la politique intérieure arménienne depuis les années 90, a des succursales non seulement en Arménie mais aussi dans presque toutes les régions de Russie, ainsi qu’en Californie (États-Unis) et à Marseille (France).

Les pièces viennent de France

Le salaire de ces terroristes placés dans le couloir de Zangezur, qui s’élève à 12 dollars par jour, est couvert par la France et la diaspora arménienne.

Des sources de sécurité affirment que les terroristes et les gangs déployés à la frontière entre l’Arménie et l’Azerbaïdjan et dans la région de Zangezur sont sérieusement soutenus par l’organisation terroriste du PKK.

Des experts militaires français et iraniens dispensent à ces terroristes une formation en matière d’assassinat, de sabotage, de guerre électronique, de missiles, de mines et de renseignement.

L’Iran place ses milices aux côtés des Arméniens

Lorsque de nombreux terroristes ont été envoyés dans la région, de nombreux villages du côté arménien du couloir ont été évacués. Dans les zones évacuées, l’Iran a déployé et continue de déployer ses propres milices.

Erevan a admis avoir acheté des systèmes d’armes modernes à la France. L’Inde a également livré des missiles de croisière supersoniques à longue portée à l’Arménie.

L’Arménie est à nouveau en service de pion

L’Arménie, dont on peut dire qu’elle se prépare à une nouvelle guerre avec les mesures qu’elle a prises, exécute les instructions qu’elle a reçues de la France et de l’Iran au lieu de tirer les leçons de ses défaites et d’adhérer aux accords. Au lieu de faire partie de la paix, l’Arménie perpétue ses habitudes historiques et devient le jouet d’autres puissances.

Si l’habitude de l’Arménie d’être le jouet de ces forces anti-turques persiste, il est certain que les Arméniens subiront une nouvelle défaite dans une nouvelle guerre et subiront à nouveau de lourdes pertes. Il n’est pas possible pour l’Arménie de réussir contre la confrérie azerbaïdjano-turque, quels que soient les États ou les groupes terroristes avec lesquels elle s’allie.

La zone doit être nettoyée

Afin de révéler le potentiel de la région de Zangezur, qui est très importante pour le monde turc et de nombreux pays, il faut éliminer les ombres et les incertitudes qui l’entourent, débarrasser la région du terrorisme et la rendre sûre et stable. Il est bien connu de tous les acteurs de la région que l’État turc et l’Azerbaïdjan frère ont le pouvoir et le pouvoir de procéder à ce nettoyage.

Université Atatürk, Département d’histoire Maître de conférences Assoc.Prof.Dr.Savaş Eğilmez

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